Ne reste alors qu’une douzaine de saisonniers au milieu de bâtiments déserts. Hugo vient à peine d’arriver, mais, déjà, quelque chose l’inquiète. Ce sentiment d’être épié, ces «visions» qui le hantent et cette disparition soudaine…
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Chronique : Très mitigée, une fois de plus, et ça fait quelque années que je n’arrive plus à retrouver le Maxime Chattam qui me faisait hurler de peur la nuit, me réveillant en plein cauchemar après l’avoir lu. Je le trouve de plus en plus, si ce n’est mou, quelque peu tiède. Il y a des phrases qui m’ont fait écarquiller les yeux de stupeur tellement je ne m’attendais pas à ce que lui, précisément, les écrives : « Un écrin d’amour » lorsque le personnage prépare un dîner pour la femme dont il commence juste à tomber amoureux (Whhhaaaaat « Un écrin d’amour » sérieusement ?!?!?!) Et la femme en question qui le regarde en lui disant « Tu n’appartiens pas au monde, c’est le monde qui t’appartient » Non mais oh ?!?!? Plus dégoulinant tu connais ? Max steuplé !!!
Quid de l’auteur de la trilogie du mal ?
Enfin bref pendant les 3/4 du roman, j’avais l’impression d’être un louveteau, une nuit avec tous mes ptits camarades scout, autour du feu et qu’on me faisait peur avec des histoires d’araignées géantes, de portes qui grincent, de gémissements d’outre-tombe etc.
En revanche, les 100 dernières pages, soit le dénouement, est très intéressant, bien prenant et je ne m’attendais pas à ça du tout ! Donc il est là mon « mitigée » uniquement sur la fin qui est franchement très bonne et rattrape toutes le reste.
