Interview avec Monsieur Tout le Monde : Perspectives, Expériences et Réflexions

Accompagnons-nous dans l’exploration d’un artiste à la fois mystérieux et doué : Mr Tout Le Monde, un jeune artiste français. Son nom peut sembler peu familier, mais il a fait son apparition à la fin de l’année 2019 avec son titre « Night Time ». En tant que DJ, producteur et chanteur, Mr Tout Le Monde nous transporte dans son univers mélancolique, naviguant entre la Deep House et la Melodic House.

  • Comment avez-vous commencé votre carrière dans la musique et qu’est-ce qui vous a motivé à devenir pcompositeur et chanteur ?

Aussi loin que mes souvenirs remontent, j’ai toujours fait de la musique. Puis cette passion a naturellement fait de moi un compositeur, puis quelques années plus tard un chanteur pour la naissance de Mr Tout Le Monde en 2016.

  • Quelles ont été vos principales sources d’inspiration au début de votre carrière, et comment ont-elles évolué jusqu’à maintenant ?

J’ai eu de nombreuses phases au cours des différentes périodes de ma vie, mais si je dois citer quelques artistes qui m’ont inspiré je nommerais Daft Punk, M83, Apashe, Woodkid ou encore John Powell et James Newton Howard.

  • Pouvez-vous nous parler du processus de création de ‘Night Time’ et de l’accueil qu’elle a reçu ?

Évidemment ce fut très émouvant et rassurant de recevoir un tel accueil sur ce titre. Je l’avais composé depuis des mois mais, inconsciemment, je n’osais pas le dévoiler au public. Et c’est vraiment grâce à l’impulsion de mon entourage que j’ai décidé de chanter pour la première fois sur ce titre puis de le sortir.

  • Comment avez-vous vécu le passage de l’anonymat à l’un des producteurs les plus en vogue en seulement trois ans ?

 Je vous remercie et je pense sincèrement que nous sommes qu’au début d’un long voyage ensemble et que Mr Tout Le Monde saura transcender le temps.

  • Comment décririez-vous l’évolution de votre son entre votre premier album « Her » et « SUN » ?

Ma musique est véritablement influencée par mes humeurs ! J’ai composé « Her » pendant le confinement, en pleine dépression… donc on peut entendre une sorte d’appel au secours et une certaine tristesse. Quant à « Sun », ce fut quelques temps après, alors que le projet commençait à prendre son envol et que le moral était au beau fixe.

  • Sur cet album, vous avez choisi de collaborer avec d’autres artistes. Quels critères avez-vous utilisés pour choisir ces artistes et comment ont-ils influencé le son de l’album ?

C’est avant tout une rencontre artistique et humaine. Toutes ces collaborations se sont faites vraiment naturellement car nos énergies étaient alignées et nous avons pu partager nos émotions respectives dans un titre.

  • Quel est votre processus créatif pour produire un nouvel album ou une chanson ?

La musique est une thérapie pour moi. Lorsque je compose, je suis comme coupé du reste du monde. Je compose en permanence, sans objectifs réels, sans limites ou autres barrières et la direction artistique suit naturellement mes humeurs et ensuite on décide d’en faire un album et de sélectionner les titres les plus cohérents pour offrir un voyage au public.   

  • Pourquoi la mélancolie est-elle un thème récurrent dans votre musique ?

Je compose ce que je ressens ! Les meilleures musiques sont celles qui arrivent spontanément, sans réfléchir, et il faut croire que je suis souvent mélancolique dans ces moments.

  • Comment réagissez-vous aux critiques, positives ou négatives, notamment pour un album aussi attendu que « SUN » ?

 Je partage des émotions au travers de ma musique, et si ces émotions peuvent être ressenties par les personnes qui l’écoute et toucher leur sensibilité alors c’est la seule chose qui compte à mes yeux.

  • Comment percevez-vous l’accueil de votre musique à l’international ?

Je suis ému de voir un tel engouement ! Notamment depuis que nous venons d’annoncer les premières tournées internationales au Canada et en Allemagne, où les places se vendent à une vitesse incroyable.

  • Comment gérez-vous votre désir de mettre votre musique avant votre image tout en maintenant un certain degré d’anonymat ?

Ma volonté a toujours été de mettre ma musique et mon univers artistique en avant, pas moi personnellement. 

  • Pensez-vous que votre choix d’anonymat influence la manière dont le public perçoit votre musique ?

 Je pense que le public peut plus facilement s’identifier à Mr Tout Le Monde et aux messages et émotions transmis dans mes musiques.

  • Quels sont vos projets futurs ? Pouvez-vous nous donner des indices sur vos directions musicales ou collaborations à venir ?

Je viens d’annoncer mon premier concert live au Trianon, à Paris, le 15 Novembre prochain et je finalise actuellement un nouvel album qui, je pense, saura vous surprendre !

Entretien Exclusif avec Thomas Van Hamme au Sujet de Son Roman ‘L’Éveil

Thomas Van Hamme, né le 10 février 1969 à Bruxelles, est un éminent animateur belge, reconnu pour ses talents à la radio et à la télévision. Il incarne la deuxième génération d’une famille artistique, étant le fils du célèbre scénariste de bandes dessinées belge, Jean Van Hamme.

  1. Quelle a été votre motivation première pour entreprendre ce voyage introspectif à travers votre récit, et comment cela a-t-il évolué au fil de votre exploration personnelle ?

Le fait de coucher par écrit ce voyage vers moi fut d’abord une thérapie personnelle. Le besoin de mettre des mots sur ce qui bouleversait tout ce que j’avais construit jusqu’alors. J’ai commencé cet exercice quand je suis arrivé en Inde, première étape d’un année initiatique qui durera finalement quatre ans. J’ai ensuite mis de côté ce journal, pour le reprendre à chaque moment déterminant de cette introspection. C’est en voyant que je me consacrais désormais à enseigner la méditation qu’une éditrice m’a contacté, curieuse de ce parcours pas banal pour un ancien présentateur télé. J’y ai vu comme un signe. C’est ce qui m’a encouragé reprendre mes écrits pour en faire un livre, convaincu que je n’étais pas seul à vivre cette quête et, qu’en la partageant, j’allais peut-être aider certains à avancer sur ce chemin parfois douloureux mais au final si lumineux.

  1. Pouvez-vous nous parler des moments clés qui ont marqué votre décision de dévoiler les strates cachées derrière une façade de réussite et de perfection ?

Cela n’a pas été simple pour quelqu’un qui, comme moi, vivait depuis toujours dans l’image. Je m’étais construit un personnage sans même en être vraiment conscient. Éclairer mes zones d’ombres pour mieux faire la paix avec toutes mes parts m’a permis de me retrouver. Mais comment redevenir vraiment celui qu’on est si tout le monde pense encore à l’ancienne version de vous-même ? Révéler mon authenticité faisait donc partie du processus. Et c’était une nécessité pour que ce livre résonne. Il m’a fallut du courage pour l’offrir au monde mais aujourd’hui je sais qu’en faisant cela j’ai fait œuvre utile. Depuis que le livre est sorti, je reçois quantité de témoignages plus émouvants les uns que les autres. Preuve que nos histoires se font écho. Et que dans ce monde d’image et de superficialité, nous sommes de plus en plus nombreux à aspirer à davantage de vérité et de partage.

  1. Comment décririez-vous le processus de transformation que vous avez vécu, passant de l’effondrement d’un monde construit minutieusement à l’émergence d’une nouvelle version de vous-même ?

Il y a d’abord eu un sentiment de non-alignement qui coïncidait avec mes cinquante ans. Le fait d’être arrivé à obtenir ce que j’avais toujours désiré avec, en parallèle, la sensation de ne pas être complet pour autant. Comme un vide intérieur. Le voyage a débuté par hasard – mais le hasard existe-t-il ? – avec la découverte des médecines shamaniques qui ont mis à jour un traumatisme enfoui. Un viol subit enfant que mon cerveau avait occulté mais qui conditionnait la piètre image que je pouvais avoir de moi. J’ai alors compris que je me perdais à courir après des illusions pour tenter de panser cette blessure. Mais cela signifiait aussi que tout ce que j’avais construit jusque là n’avait plus vraiment de sens. C’est la mort de ma petite sœur à l’âge de 39 ans qui a été le détonateur. Le signal qui m’a fait comprendre qu’il était temps de lâcher l’ancien pour m’ouvrir à cette nouvelle version de moi-même. 

  1. Quelles ont été les principales luttes intérieures que vous avez rencontrées lors de cette métamorphose, et quelles découvertes vous ont le plus marqué dans ce périple hors du commun ?

Lâcher l’ancien signifie renoncer à une grande part de sa vie d’avant. S’éloigner de certaines amitiés qui ne résonnent plus. D’habitudes tellement ancrées mais parfois néfastes qui ne nous conviennent plus. Ce qui implique de passer par de grands moments de solitude et de vide intérieur puisqu’on ne peut plus s’accrocher à ce qui constituait sa vie d’avant. Dans un parcours d’éveil de conscience, on appelle cela la nuit noire de l’âme. Quand tout s’écroule autour de soi et qu’on ne sait pas encore par quoi remplir cet immense vide qui s’est formé. C’est une étape très compliquée qui donne envie de revenir en arrière. Mais c’est impossible. Une fois ce chemin de detricotage de nos illusions entamé, un retour n’est plus envisageable. Puis, on découvre petit à petit ce qui se cachait derrière le personnage. On se reconnecte à la lumière qu’on a tous au fond de nous. On comprend qu’on est bien plus que son enveloppe terrestre : une énergie appelée la vie dont on est une émergence. Qu’on est connecté avec le tout et que nous créons jour après jour notre réalité. C’est la découverte de la spiritualité. De quelque chose d’indicible qui nous transcende et qui est amour pur.

  1. Pouvez-vous partager un moment particulièrement poignant ou révélateur que vous avez choisi de décrire dans votre récit, illustrant la fragilité de l’âme humaine et la nécessité de déconstruire pour reconstruire ?

Je suis parti en Inde pour trouver des réponses à la mort de Zoé, ma petite sœur. L’Univers m’a guidé vers Varanasi lors que ce n’était pas prévu. C’est dans cette ville sacrée, la plus ancienne au monde, qu’on brûle les morts le long du Gange. Mourir à Varanasi est une bénédiction pour les Hindous. C’est la garantie d’arrêter le cycle infernal des réincarnations. D’enfin trouver la paix. Voir ces cadavres brûler dans l’indifférence générale a été un électrochoc. Moi qui venait avec mes croyances occidentales, pensant que la mort était une fin et non le commencement d’autre chose. J’ai dû lâcher mes à-prioris et m’ouvrir à une autre vision de ce que pouvait être la vie et la mort. Comprendre que l’une fait partie de l’autre et que peut-être quelque chose de plus grand est à l’œuvre.

  1. Comment avez-vous navigué entre la révélation intime de vos propres expériences et la création d’un récit universellement accessible, capable de toucher les lecteurs dans leur quête de vérité et d’authenticité ?

Ma quête m’a amené à comprendre qu’elle était universelle et partagée par beaucoup depuis la nuit des temps. Mon récit est personnel mais j’ai l’espoir que le message qu’il porte touche des femmes et des hommes sur ce chemin de retour à soi. Me mettre à nu de cette façon était une manière de leur tendre la main pour que eux aussi aient le courage d’éclairer toutes leurs parts afin de mieux se retrouver. En toute humilité.

  1. En quoi votre ouvrage dépasse-t-il le cadre de l’autobiographie pour devenir une invitation à la réflexion et à l’éveil spirituel pour vos lecteurs ?

A l’heure où notre monde s’assombrit et se perd dans un individualisme de plus en plus forcené et des valeurs vides de sens, il y a paradoxalement de plus en plus de lumière même si elle n’est pas toujours visible, occultée même. Pourtant l’une ne peut pas exister sans l’autre. Nous assistons à un éveil de conscience massif. Et nous avons besoin de nous relier pour vibrer ensemble l’espoir d’une humanité nouvelle où l’amour, de soi, des autres et de tout ce qui porte la vie sera la règle. Mon livre n’est qu’une petite goutte mais porte les graines de l’espoir. Et plus les gouttes seront nombreuses, plus elles formeront un immense océan.

Interview de Charles Falque-Pierrotin pour « Les Chatvaliers contre les Ratons »

Et si les chevaliers de la Table ronde étaient des chats ?

Charles Falque-Pierrotin et Oriana Berthomieu on écrit : Les Chatvaliers aux éditions Grund. L’auteur Charles Falque-Pierrotin surnommé Choopa, suivi par près de 300 000 personnes sur Instagram, est l’un des membres de Lolywood (une chaîne YouTube aux 3.3 M d’abonnés). Les deux auteurs ont créé un album plein d’humour autour de l’univers de la Table ronde… peuplé par des chats

Pouvez-vous nous parler de ce qui vous a inspiré à créer « Les Chatvaliers contre les Ratons Baveurs », un album qui marie l’univers de la Table ronde avec des personnages félins ?
L’idée des Chatvaliers m’est venue à force d’inventer des histoires de chevaliers pour mes neveux Louis et Henri, qui avaient 4 et 2 ans à l’époque. Un jour, alors que leur chat Newton me défiait du regard, le jeu de mot m’est apparu comme une évidence : les Chatvaliers. Et c’est de là qu’à découlé l’univers que nous avons imaginé ensemble avec Oriana Berthomieu, une ancienne collègue mais surtout une amie de longue date, dont j’ai toujours adoré les illustrations. 
On a sorti le tome 1 « Les Chatvaliers à la recherche du Grrraal » l’année dernière, avec la volonté de présenter l’ensemble des personnages autour d’une intrigue simple : qui a volé le Grrraal ?
Pour ce tome 2, on souhaitait amener du conflit dans le royaume de Grrretagne. C’est comme ça que nous est venue l’idée des Ratons Baveurs, qui souhaitent à tout prix récupérer Exchalibur, l’épée magique du roi Charthur.

Comment avez-vous abordé le défi de fusionner l’époque médiévale et l’univers de la Table ronde avec le monde félin pour créer un univers cohérent et amusant dans l’album ?

C’était un chacré défi ! D’autant plus qu’il s’agissait pour Oriana et moi de notre première histoire à destination des enfants.
Au moment de l’écriture du premier tome, je me suis inspiré de la légende arthurienne pour imaginer des personnages et une intrigue qui soient cohérents avec les aventures originelles des chevaliers de la table ronde. Oriana m’a aidé à préciser tout ça et à donner vie aux personnages grâce à son talent de dessinatrice. Et nous avons ensuite pu bénéficier du regard bienveillant et enthousiaste des équipes de Gründ (Coralie à l’édition et Karine à la maquette) pour rendre le tout pertinent pour les enfants de 4 ans et plus.

En tant que membre influent de Lolywood et suivi par une large audience sur Instagram, comment votre expérience dans le monde du divertissement en ligne a-t-elle influencé votre approche de la création de cet album pour enfants ?

Quand bien même il s’agissait de la première fois que j’écrivais une histoire sous forme d’album illustré, j’ai senti que mon expérience d’auteur de sketches sur Lolywood m’aura aidé à structurer le récit et surtout à amener de la comédie dans l’histoire. Ce qui était nouveau en revanche, c’était d’écrire en tant que narrateur une histoire qui sera lue pour des enfants, là où j’ai l’habitude d’écrire surtout des scènes comiques qui seront diffusés en vidéo et à destination des adultes.

Les chats chevaliers dans l’album ont chacun leurs propres personnalités uniques. Comment avez-vous développé ces personnages et leurs traits distinctifs tout en restant fidèle aux archétypes de la légende arthurienne ?

Pour développer les caractères des personnages, je me suis inspiré des archétypes existants dans les sitcom américaines (Friends, How I Met Your Mother, The Office…). J’ai ainsi pu proposer à Oriana des personnalités bien distinctes pour chaque chat (la courageuse, le prétentieux, le simplet, le déluré etc…), en s’appuyant sur des qualités et des défauts variants d’un personnage à l’autre. A partir de là, on a réfléchi à ce que ça rendrait visuellement, en s’inspirant d’illustrations existantes dans les bandes dessinées et dessins animés de notre enfance. 

Le titre « Les Chatvaliers contre les Ratons Baveurs » évoque déjà une dose d’humour. Comment avez-vous abordé le mélange de l’humour et de l’aventure tout en respectant l’essence de l’histoire de la Table ronde ?

Pour écrire ces deux albums des Chatvaliers, on a d’abord réfléchi à la structure de l’histoire : quel est l’enjeu ? quels sont les rebondissements ? quel est le dénouement ? quels personnages sont impliqués ? On s’est évidemment appuyé sur les éléments de l’univers  de la table ronde (les personnages, les objets, le lieu…) pour construire le récit. Puis, pour finir, on trouve les blagues qui iront bien avec les situations, aussi bien dans le texte que dans les illustrations.

Les illustrations jouent un rôle essentiel dans la narration de l’album. Pouvez-vous nous en dire plus sur votre collaboration avec Oriana Berthomieu et comment ses illustrations ont enrichi l’univers que vous avez créé ?

Oriana et moi, nous nous sommes rencontrés à l’époque où nous travaillons tous les deux en marketing en 2012 dans une grande entreprise. Et à côté de notre travail, on avait chacun un hobbie : le dessin pour elle et l’écriture pour mois. On s’est perdu de vue quand on a quitté notre boîte. Par chance, on s’est retrouvé en 2021 autour de cette envie commune d’écrire une histoire pour les enfants.
Sur les Chatvaliers, on fonctionne vraiment comme un binôme. On réfléchit à deux à l’histoire, je rédige, je lui fais lire, elle me fait des retours. Idem sur les illustrations où elle me partage son travail, je lui fais des retours et on envoie le tout à notre éditrice. C’est un vrai travail d’équipe. 
Ce qui est formidable avec Oriana, c’est qu’on est sur la même longueur d’onde. On a des références communes, on partage le même humour et on travaille du coup dans une atmosphère très positive 🙂 A chaque nouvelle illustration qu’elle me partage, je retrouve mon regard d’enfant et je suis son premier fan ! En plus de très bien dessiner, elle rajoute plein de blagues visuelles dans ses illustrations qui me font souvent beaucoup rire. Et apparemment, les parents de nos lecteurs aussi !

Quels messages ou valeurs souhaitez-vous transmettre aux jeunes lecteurs à travers « Les Chatvaliers contre les Ratons Baveurs » ?

On souhaite avant tout transmettre du rire aux enfants et à leur parents. Il n’y a rien qui nous fait plus plaisir à Oriana et moi que de savoir qu’un jeu de mot ou une illustration a fait rigoler quelqu’un. On essaie aussi de véhiculer des valeurs bienveillantes à travers le comportement des personnages les uns envers les autres, comme la politesse, le pardon, la gentillesse ou encore la générosité.

De nombreuses personnes connaissent votre travail grâce à Lolywood et Instagram. Comment gérez-vous le passage de la création de contenu en ligne à l’écriture d’un livre pour enfants ?

Le passage de la création de vidéos pour Internet à l’écriture d’un livre pour enfant s’est fait assez naturellement pour moi dans la mesure où il s’agit de la même démarche : faire rire les gens. Ce n’est pas le même support ni la même cible, mais l’objectif premier c’est d’apporter du divertissement et du sourire aux personnes qui nous regardent ou qui nous lisent.

Pour conclure, qu’espérez-vous que les lecteurs retiennent de leur expérience de lecture de « Les Chatvaliers contre les Ratons Baveurs » ?

Si on a réussi à faire rire les parents et leurs enfants, on aura le sentiment du travail bien fait ! Et si ça leur a plu, on espère qu’ils pourront en parler autour d’eux pour d’autres familles découvrent les aventures des Chatvaliers 🙂 En espérant un tome 3 !

Podcast : Alexandre Astier parle de la Plongée dans l’Imagination de Kaamelott : Un Univers Infini

« Kaamelott » est connu pour son casting incroyable, réunissant des talents variés, et pour la personnalité de génie touche-à-tout d’Alexandre Astier. Son perfectionnisme se reflète dans chaque aspect de la série, y compris son attention aux détails historiques.
Ce qui rend « Kaamelott » encore plus spécial, c’est la communauté passionnée de fans qui l’entoure. Au fil des saisons, la série a évolué, passant d’un programme court à un véritable feuilleton. Cette transition a été captivante pour les fans qui ont suivi avec enthousiasme les intrigues et les développements des personnages.

« Terrifier 3 »: Interview du réalisateur Damien Leone

Article traduit de chez Variety : https://variety.com/2023/film/news/terrifier-3-director-art-the-clown-gore-1235639529/

Art the Clown est prêt à semer plus de chaos.

Cineverse Corp. a annoncé avoir acquis les droits nord-américains de la suite slasher « Terrifier 3 » du scénariste et réalisateur de la série, Damien Leone, et du producteur Phil Falcone. Le film est prévu pour une sortie en salle étendue l’année prochaine en Amérique du Nord, suivi de sa première exclusive sur le service de streaming Screambox de Cineverse.

Produit pour moins de 250 000 dollars, « Terrifier 2 » a rapporté 15 millions de dollars au box-office mondial. Il est également devenu une sensation virale très discutée, les fans se tournant vers les réseaux sociaux pour partager les parties qui les dégoûtaient le plus.

Après sa diffusion en salle, « Terrifier 2 » est arrivé sur Screambox et a « augmenté considérablement » le nombre d’abonnements, selon l’entreprise.

« Il a généré environ 60 fois le coût de production et a été principalement propulsé par le marketing social », a déclaré Chris McGurk, président-directeur général de Cineverse, dans un communiqué. « Nous sommes ravis que Damien et Phil aient choisi de rester fidèles à la franchise et de garder le film non censuré et indépendant, plutôt que de passer par un studio. Nous avons l’intention de faire de ce film la pièce maîtresse de notre stratégie de distribution axée sur la collaboration avec les créateurs pour générer des franchises et des remakes préférés des fans qui fonctionnent au cinéma et augmentent les revenus des abonnements au streaming. Cette fois-ci, nous prévoyons une sortie en salle étendue pour « Terrifier 3 », car nous sommes convaincus que le film offrira une expérience d’horreur inégalée. Nous attendons avec impatience la vision créative que Damien et Phil dévoileront au public lorsque nous présenterons « Terrifier 3″ sur grand écran à l’automne 2024. »

L’accord sur les droits a été négocié par Brandon Hill, directeur des acquisitions, au nom de Cineverse, et par Priscilla Ross Smith de The Coven au nom des cinéastes. Leone est actuellement représenté par WME.

Avant l’annonce, Leone a parlé avec Variety du troisième chapitre.

Comment « Terrifier 3 » va-t-il s’appuyer sur « Terrifier 2 » ?

Dès que j’ai compris ce qu’était la deuxième partie, j’ai su que cela allait être au moins une trilogie, donc j’ai travaillé dessus depuis que j’ai terminé la deuxième partie. Même lorsque j’écrivais la deuxième partie, j’avais déjà écrit des scènes pour la troisième partie car je savais où cela allait nous mener. Je souhaite revenir un peu à l’ambiance de la première partie, que je trouvais un peu plus simple et classique, un slasher rugueux. Je veux que celui-ci reprenne cette direction, et je veux que ce soit le plus effrayant des trois. Celui-ci aura même une tonalité légèrement plus malveillante, donc j’espère qu’il sera le plus effrayant et le plus sombre. Je veux que le public qui découvrira celui-ci ne se sente pas aussi à l’aise avec Art le Clown qu’il peut le ressentir maintenant. Je veux voir si je peux vraiment les effrayer à nouveau.

Face à la notoriété du gore dans le deuxième film, ressentez-vous la pression de vous surpasser dans « Terrifier 3 » ?

Toujours. Il y a parfois des nuits blanches où je me dis : « Oh mon Dieu, je ne peux pas décevoir les fans de cette franchise. » Ils s’attendent toujours à la prochaine grande scène de meurtre, au prochain grand moment gore. Comment vais-je surpasser la célèbre scène de la scie à métaux de la première partie, et maintenant le deuxième film ? On me demande lors des conventions : « Comment allez-vous surpasser la scène de la chambre ? » Je veux toujours viser haut et essayer de voir si je peux faire mieux que lors de l’installment précédent.

Il y avait en fait un meurtre que j’allais inclure dans « Terrifier » et qui concernait le personnage de Tara joué par Jenna Kanell. Après la scène de la scie à métaux, il y avait une autre scène de torture. Je savais que les enchaîner de cette façon allait totalement perdre le public car cela serait trop difficile à supporter. J’ai donc gardé ce meurtre en réserve… Je ne l’ai même pas inclus dans la deuxième partie. C’est donc quelque chose que je pourrais explorer. Mais j’ai pensé à un autre il y a environ un mois, où tout s’est mis en place et j’ai dit : « Cela va être la prochaine scène de meurtre dans une chambre » – vous le saurez quand vous le verrez. Je ne peux pas dire avec certitude que je pourrai surpasser ces scènes, cela dépendra toujours du point de vue – mais vous le saurez quand vous le verrez.

« Terrifier 2 » est maintenant diffusé dans plusieurs endroits et facilement accessible. Recevez-vous une deuxième vague de réactions au film ?

J’aime toujours explorer les réseaux sociaux, aller sur Twitter, rechercher les hashtags pour voir si de nouvelles vidéos apparaissent sur YouTube. J’apprécie tout cela et je suis tellement reconnaissant quand je le vois, même si c’est négatif, car j’essaie de transformer cela

en quelque chose de positif. J’essaie d’obtenir un consensus sur ce qui ne fonctionne pas pour certaines personnes, s’il s’agit de quelque chose que je pourrais potentiellement rectifier. Si vous n’aimez tout simplement pas le gore ou les slashers, je ne peux rien faire pour vous, mais s’il y a une critique constructive que je peux prendre en compte, j’adore le faire.

Y a-t-il eu des critiques constructives que vous avez retenues des réactions des fans à « Terrifier 2 » et que vous gardez à l’esprit pour « Terrifier 3 » ?

Je voulais que la deuxième partie ait une ambiance à la « Les griffes de la nuit 3 : Les guerriers du rêve ». C’était l’ambiance que j’avais en tête et je savais que j’allais vraiment embrasser cet élément surnaturel et fantastique. Je savais aussi que cela allait aliéner quelques fans en empruntant cette voie. Personnellement, j’adore ça. Il y a beaucoup de personnes qui n’ont pas aimé le côté fantastique, ou du moins qui ont besoin d’une explication plus détaillée sur pourquoi tout cela se produit. Je ne voulais pas tout expliquer dans la deuxième partie, donc je vais expliquer au fur et à mesure. Mais la plus grosse erreur que je pourrais commettre maintenant serait de persister dans cette dimension fantastique. C’est pourquoi je veux rectifier le tir un peu ; revenons à « Les griffes de la nuit » partie un, plutôt que d’aller plus loin avec « Les guerriers du rêve ». Cela pourrait être une critique très utile et m’aider à faire un meilleur film à l’avenir. Mais nous verrons bien.

Podcast : Alexandre Astier parle de musique, de dialogues ciselés, Sting et Robobrol

Journaliste : Marie Bonnisseau « Les Hommes ont toujours pincé des cordes, soufflé dans des trucs et tapé sur des machins ».
Arthur Pendragon, également connu sous le nom d’Alexandre Astier, vient révéler quelques spoilers sur son film très attendu. Et étant donné qu’Astier aurait dû devenir musicien s’il avait écouté sa mère, il nous parle des instruments fabriqués à partir de boyaux de chat pour sa bande originale, de ses dialogues finement travaillés, qu’il compare à des partitions musicales, de Sting qui parle mieux français que nous, de Miles Davis, de danses de catapultes, et du fameux Robobrol.

Rencontre avec un Bordelais qui crée les premiers bijoux renfermant une goutte de vin : Perle de Vin

Pouvez-vous nous expliquer en détail le concept derrière Perle de Vin et comment est né ce projet ?

Fabrice Cocrelle : Perle de Vin est le fruit de notre passion pour l’innovation et le vin. L’idée nous est venue lorsque mon épouse m’a parlé d’un concept où des gouttes de lait maternel étaient solidifiées pour créer des bijoux. Cela a fait germer l’idée de créer des bijoux uniques contenant une goutte de vin. Étant moi-même originaire de Bordeaux, une région viticole renommée, j’ai pensé que ce serait une manière merveilleuse de fusionner notre amour pour le vin et la création de bijoux. C’est ainsi que Perle de Vin est né.

Pouvez-vous nous en dire plus sur les types de bijoux que vous proposez et comment fonctionne le processus d’encapsulation du vin dans ces bijoux ?

Fabrice Cocrelle : Perle de Vin propose une large gamme de bijoux, tels que des pendentifs, des bagues, des boucles d’oreilles et des bracelets, spécialement conçus pour les femmes. Nous prévoyons également d’étendre notre collection pour inclure des options pour les hommes. Ce qui rend nos bijoux uniques, c’est la goutte de vin encapsulée à l’intérieur de chaque pièce.

Le processus d’encapsulation est assez simple. Nous fournissons à nos clients une pipette spéciale avec laquelle ils peuvent prélever quelques gouttes de leur vin préféré ou de tout autre liquide qu’ils souhaitent encapsuler. Une fois les gouttes recueillies, ils nous renvoient la pipette et nous prenons soin de les encapsuler dans le bijou de leur choix. Cela permet à nos clients de personnaliser leurs bijoux avec des souvenirs gustatifs précieux.

Quels types de liquides peut-on encapsuler dans les bijoux Perle de Vin ?

Fabrice Cocrelle : Les bijoux Perle de Vin sont conçus pour contenir des gouttes de vin, qu’il s’agisse de vin rouge, blanc ou rosé. Cependant, nous ne nous limitons pas au vin. Nous offrons également la possibilité d’encapsuler d’autres boissons fines telles que l’armagnac, le cognac ou même des huiles d’olive de prestige. L’imagination est la seule limite. Nous encourageons nos clients à exprimer leur créativité en choisissant des liquides qui ont une signification personnelle pour eux. Notre objectif est de permettre à nos clients de créer des bijoux uniques et significatifs.

Comment percevez-vous l’engouement pour vos bijoux contenant des gouttes de vin ou de spiritueux ? Quels sont les retours que vous avez reçus jusqu’à présent ?

Fabrice Cocrelle : Nous sommes très heureux de l’accueil que nos bijoux ont reçu jusqu’à présent, en particulier auprès de la gente féminine dans des pays comme la Russie et les Émirats arabes unis. Ces pays sont très intéressés par le terroir français et apprécient le caractère unique de nos créations.

Nous avons reçu des retours très positifs, nos clients apprécient la combinaison de l’élégance des bijoux haut de gamme avec la préciosité des grands crus et des spiritueux. Ils voient nos bijoux comme des objets de valeur qui leur permettent de porter sur eux un souvenir gustatif qui a une signification particulière pour eux.

Fabrice, pouvez-vous nous parler davantage des créations sur-mesure proposées par Perle de Vin ? Comment les clients peuvent-ils choisir le vin ou le spiritueux à encapsuler dans leur bijou ?

Fabrice Cocrelle : Absolument ! Chez Perle de Vin, nous offrons à nos clients la possibilité de créer des bijoux sur-mesure en choisissant le vin ou le spiritueux qu’ils souhaitent encapsuler. C’est une manière unique de personnaliser leur bijou et de rendre l’expérience encore plus significative.

Pour cela, nous mettons à leur disposition une pipette spéciale. Ils peuvent commander cette pipette sur notre site internet et l’utiliser pour recueillir quelques gouttes du liquide de leur choix, qu’il s’agisse d’un vin spécial ou d’un spiritueux prestigieux. Une fois les gouttes recueillies, ils nous renvoient la pipette avec le liquide et nous nous chargeons de créer leur bijou personnalisé.

C’est une façon vraiment spéciale d’immortaliser un moment important ou un souvenir précieux en le portant sur soi. Je l’appelle souvent « un gardien de souvenir » car le bijou devient une véritable représentation tangible de ce moment précieux. C’est une expérience unique et émotionnelle pour nos clients.

Pouvez-vous nous parler de certaines des créations sur-mesure les plus mémorables que vous avez réalisées jusqu’à présent ?

Fabrice Cocrelle : Bien sûr ! Nous avons eu l’opportunité de créer de nombreuses créations sur-mesure qui ont une signification particulière pour nos clients. Je me souviens notamment d’une demande en mariage où nous avons encapsulé une goutte du champagne avec lequel le couple avait célébré ce moment. Le bijou est devenu un symbole d’amour et de souvenirs partagés.

Nous avons également réalisé des bijoux sur-mesure pour des anniversaires, des anniversaires de mariage, et même des moments de réussite professionnelle. Chaque création sur-mesure est unique et raconte une histoire personnelle. C’est ce qui rend notre travail si gratifiant.

En plus des bijoux sur-mesure, comment les clients peuvent-ils se procurer les créations de Perle de Vin ? Où peuvent-ils les trouver ?

Fabrice Cocrelle : Nos créations peuvent être achetées directement sur notre site internet. Nous avons une boutique en ligne où les clients peuvent découvrir notre collection et passer commande en ligne. De plus, nos bijoux sont également disponibles à la vente à la Cité du Vin à Bordeaux, qui est le plus grand musée du vin de la région.

Enfin, nous sommes très actifs sur les réseaux sociaux, notamment sur notre page Instagram, où nous partageons régulièrement des photos de nos créations et des histoires de nos clients. Cela permet aux personnes intéressées de découvrir notre univers et de se tenir au courant des dernières nouveautés.

Site : https://perledevin.com/

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