Ce livre présente le mouvement islamiste issu de l’internationalisation du mouvement des Frères musulmans, tel qu’il s’est développé en Europe
Chronique : Le Frérisme et ses réseaux de Florence Bergeaud-Blackler met en avant plusieurs points positifs. Tout d’abord, elle souligne que l’auteure présente le mouvement islamiste issu des Frères musulmans de manière factuelle et documentée. Elle explore les origines, les fondements doctrinaux, l’organisation et les méthodes opératoires du frérisme. De plus, elle met en évidence comment ce mouvement étend son emprise au sein des sociétés européennes en exploitant les institutions, en subvertissant les valeurs des droits de l’homme et en cherchant à « islamiser » la connaissance.
J’aime le fait que le livre ne soit ni un réquisitoire, ni une dénonciation complotiste ou militante. Il est présenté comme le résultat d’une enquête approfondie menée selon les méthodes des sciences humaines, ce qui renforce sa crédibilité. C’est un document de référence qui apporte un éclairage sur un phénomène souvent mal compris. Le livre nourrit le débat avec des faits plutôt que des anathèmes idéologiques, ce qui est considéré comme précieux.
Éditeur : Odile Jacob (25 janvier 2023) Langue : Français Broché : 416 pages ISBN-10 : 2415003557 ISBN-13 : 978-2415003555
« Qu’est-ce que Cyril Hanouna ? Rien. Nada. Keutchi.
Chronique : Hanouna » de Juan Branco met en avant son analyse brillante et concise des dérives de la collusion entre les pouvoirs politiques, économiques et médiatiques, dans la lignée de ses précédents ouvrages « Crépuscule » et « Treize pillards ». L’auteur souligne l’urgence de ce livre, alors que l’émission de Cyril Hanouna continue d’influencer l’opinion de millions de Français et de servir le pouvoir en place. De plus, il est souligné que le livre est en adéquation avec l’actualité, la presse française rapportant régulièrement les propos stigmatisants ou insultants de Cyril Hanouna.
Elle met en valeur les qualités de l’analyse de Juan Branco. Elle souligne l’importance de l’ouvrage dans le contexte médiatique actuel, en mettant en évidence l’influence de l’émission de Cyril Hanouna et son lien avec le pouvoir en place.
– Le dolmen dont tu m’as parlé, Johan, il est bien sur la route du petit pont ?- À deux kilomètres après le petit pont, ne te trompe pas. Sur ta gauche, tu ne peux pas le manquer.
Chronique : « Sur la dalle » de Fred Vargas met en avant l’intrigue qui conduit le commissaire Adamsberg dans une petite ville bretonne à la poursuite d’un tueur en série, ainsi que d’un fantôme boiteux dont l’affaire est rapidement résolue par le commissaire lui-même. Le roman s’inspire des charmes médiévaux de la Bretagne et des vestiges de l’époque néolithique pour créer une atmosphère à la fois feutrée et glaçante.
L’auteure, ancienne archéologue devenue autrice de romans policiers, ajoute une dimension mystérieuse en faisant reposer Adamsberg sur la dalle d’un dolmen dans l’espoir de stimuler ses idées. L’histoire se déroulant au pays de l’auteur des « Mémoires d’outre-tombe », des références littéraires et culturelles enrichissent le récit.
Le commissaire Adamsberg fait équipe avec le commissaire Matthieu, un homme pragmatique et rationnel qui se retrouve souvent déconcerté par les réponses évasives d’Adamsberg. Le roman est également peuplé de personnages attachants et colorés, ajoutant une dimension humoristique à l’histoire.
La nourriture occupe une place importante dans le récit, avec des descriptions alléchantes de plats bretons, de cidre et de chouchen, ce qui rappelle les romans des auteures Chrystine Brouillet et Louise Penny, connues pour mettre l’eau à la bouche des lecteurs.
Les femmes, bien que peu nombreuses, sont remarquables dans le roman, avec la présence de Retancourt, une figure importante de la Brigade, et la Serpentin, une commère qui lutte contre les forces obscures pour protéger l’âme des villageois. L’histoire mêle éléments folkloriques et croyances anciennes dans une sombre histoire de vengeance où des cadavres couverts de puces sont semés.
Bien que le récit soit riche en fausses pistes et en digressions fascinantes, il s’essouffle légèrement dans la dernière partie, avec une série de perquisitions, d’arrestations et d’interrogatoires qui deviennent rapidement prévisibles et lassants. Le dénouement, expliqué de manière patiente par Adamsberg, se révèle fade et prévisible.
Fred Vargas reste une auteure à part entière et que son roman « Sur la dalle » a tout de même quelque chose de captivant à offrir aux lecteurs.
Marc s’enfuit avec toute son équipe dans un petit village des Cévennes pour finir son film chez sa tante Denise. Sur place, sa créativité se manifeste par un million d’idées qui le plongent dans un drôle de chaos. Marc se lance alors dans l’écriture du Livre des Solutions, un guide de conseils pratiques qui pourrait bien être la solution à tous ses problèmes…
Sam est un détenu exemplaire. À quelques mois de sa sortie de prison, il prépare assidument sa réinsertion. Lors d’une permission, son passé le rattrape et un accident ne lui laisse qu’un seul choix : la fuite. Cinq ans plus tard, il a refait sa vie en Thaïlande, où il a fondé la famille dont il a toujours rêvé. Mais Narong, le parrain local, l’oblige à plonger à nouveau dans la délinquance. Quand Sam veut tout arrêter, Narong s’attaque à sa famille… Sam va traverser la Thaïlande pour se venger de son bourreau.
Coincée à des milliers de kilomètres de sa mère disparue en Colombie, June utilise les nouvelles technologies pour enquêter sur sa disparition, mais découvre des mystères et révèle des secrets qui la font réaliser qu’elle ne connaissait jamais vraiment sa mère.
La suite du long métrage « Searching – Portée disparue
Chronique : Bien que « Missing » ne soit pas une suite directe de « Searching », il fait partie d’un univers cinématographique en expansion axé sur la recherche, avec une brève référence au mystère du film de 2018 qui crée une atmosphère palpitante dès le départ. Alors que « Searching » suivait un père à travers des écrans pour retrouver sa fille, « Missing » suit une fille utilisant la même structure narrative pour retrouver sa mère. Bien que capturer deux fois la magie soit difficile, « Missing » manque de l’originalité captivante de son prédécesseur. Alors que John Cho était formidable dans le rôle principal de « Searching », révélant chaque nuance de peur et d’espoir, « Missing » n’arrive pas à susciter la même empathie, malgré son concept intriguant.
Le nouveau film de Nick Johnson et Will Merrick, basé sur une histoire d’Aneesh Chaganty et Sev Ohanian de l’équipe originale de « Searching », adopte la même approche narrative, mais souffre de quelques rebondissements excessifs qui épuisent une partie de son réalisme captivant. Cependant, « Missing » est plus rapide et met en avant le personnage de June, une adolescente experte en technologie, offrant une présence à l’écran sympathique et engageante grâce à la performance de Storm Reid.
Cependant, lorsque Grace et Kevin ne se présentent pas comme prévu à l’aéroport de LAX, que June a capturé avec son téléphone portable, sa panique grandit et elle met à profit son instinct et son expertise en ligne. Malgré les difficultés de communication avec le réceptionniste de l’hôtel à Carthagène qui ne parle que l’espagnol, June fait preuve d’une ingéniosité remarquable en utilisant Google Maps et en obtenant l’aide d’un coursier nommé Javi, qui apporte chaleur et humour à ce thriller plein de suspense.
À mesure que June pirate de nouveaux mots de passe, visite des sites web et lit des e-mails, « Missing » soulève plus de questions qu’il ne fournit de réponses, incitant les spectateurs à remettre en question les personnages à maintes reprises. Deviner la vérité devient captivant, mais alors que la disparition de Grace devient une affaire nationale, les réalisateurs Johnson et Merrick adressent la nature sinistre de la tragédie. Le film met en scène des podcasteurs et des TikTokers analysant chaque détail de l’affaire, propageant des théories infondées et des complots pour leur propre notoriété et profit, ce qui est à la fois divertissant et alarmant. De plus, l’utilisation efficace des vidéos de surveillance Ring, qui n’était pas aussi répandue lors de la sortie de « Searching », ajoute de la tension.
Cependant, contrairement au délicieusement fou « M3GAN » qui mettait en garde contre une dépendance excessive à la technologie, « Missing » se transforme finalement en une célébration de ses possibilités. Il nous rappelle également l’importance d’utiliser des mots de passe plus sécurisés, évitant les noms de chiens d’enfance et les dates d’anniversaire des enfants.
Vous avez toujours rêvé de déguster les kimbap du père de Woo Young-woo dans Extraordinary Attorney Woo ? De prendre un plat de tteokbokki comme dans Romance is a Bonus Book ?
Chronique : Le livre de recettes des kdramas offre aux amateurs de dramas coréens l’opportunité de découvrir et de recréer les plats emblématiques de leurs séries préférées. Les auteurs, Jessica Cohen, Ophélie Surcouf et Camille Poulain, ont sélectionné 50 recettes inspirées de différents kdramas, offrant ainsi une variété de choix culinaires allant des romances aux thrillers en passant par les dramas horrifiques.
Ce livre permet aux lecteurs de réaliser leur rêve de goûter les mets appétissants qui ont été présentés dans leurs dramas coréens préférés. Des kimbaps du père de Woo Young-woo dans Extraordinary Attorney Woo aux tteokbokki de Romance is a Bonus Book, en passant par les barbecues coréens de Weightlifting Fairy Kim Bok Joo, chaque recette offre une immersion dans l’univers culinaire des personnages aimés.
En explorant les pages de ce livre, les lecteurs peuvent découvrir des instructions détaillées pour préparer des plats tels que les battle de mandus de True Beauty ou le ramyeon à sous-entendus de Secretary Kim. De plus, ils peuvent apprendre à préparer un Iced Americano à la manière de Start-Up.
Cependant, il est important de noter que ce livre de recettes est non officiel, ce qui signifie qu’il n’est pas affilié directement aux productions des kdramas. Malgré cela, il offre aux fans une occasion de recréer chez eux l’ambiance des tables des personnages et de découvrir la richesse de la cuisine coréenne à travers ces recettes authentiques.
Le livre de recettes des kdramas est un compagnon idéal pour les fans de dramas coréens qui souhaitent explorer la cuisine présentée dans leurs séries préférées. Avec une sélection variée de recettes inspirées de différents genres de kdramas, ce livre offre une expérience gustative et culinaire captivante.
ASIN : B0BS3C1BMX Éditeur : 404 Editions; Illustrated édition (25 mai 2023) Langue : Français Relié : 144 pages ISBN-13 : 979-1032407301 Poids de l’article : 694 g
Une fin d’été torride, près d’un lac des Alpes italiennes. Lorsque le car qui emmène des salariés à une formation tombe en panne, l’un des passagers en profite pour s’esquiver à travers la campagne.
Chronique : La Tempête, une bande dessinée de Marino Neri qui nous transporte dans une fin d’été étouffante près d’un lac des Alpes italiennes. Lorsque le car transportant des employés pour une formation tombe en panne, l’un des passagers saisit l’occasion de s’échapper à travers la campagne. Il aboutit à une magnifique villa moderne juste au moment où un violent orage éclate. Le couple résidant dans cette demeure accepte de l’héberger, bien que légèrement réticent. Rapidement, la simple présence du jeune homme va perturber l’équilibre fragile et révéler la violence sous-jacente de leur relation.
La Tempête est un « drame social » qui se déroule comme un huis clos, avec un nombre limité de personnages. Tel un reflet d’une situation universelle, chaque lien se réduit à une épreuve de force et la vulnérabilité est constamment niée. La tension entre les personnages est palpable dès les premières pages, et l’atmosphère oppressante de l’histoire ne cesse de s’intensifier au fil des planches. Neri parvient à capturer cette tension à travers son dessin expressif et son utilisation habile de la mise en page.
L’intrigue est soigneusement construite, avec des rebondissements surprenants et des révélations troublantes. L’auteur explore les dynamiques de pouvoir et les conflits intérieurs qui se cachent derrière les apparences. Les dialogues sont incisifs et révèlent avec justesse les sentiments refoulés des personnages. On ressent toute la complexité de leurs émotions, de la frustration à la colère en passant par la désillusion.
La Tempête offre également une réflexion profonde sur les relations humaines et les conséquences de nos actions. Elle soulève des questions sur la fragilité des liens sociaux et la difficulté de communiquer véritablement avec autrui. L’histoire se déroule dans un contexte spécifique, mais elle parvient à toucher des thèmes universels qui résonnent chez le lecteur.
Du point de vue visuel, le trait de Neri est précis et détaillé, mettant en valeur les expressions du visage et les gestes des personnages. Les couleurs utilisées contribuent à renforcer l’ambiance sombre et oppressante de l’histoire.
La Tempête est une bande dessinée captivante qui explore les relations humaines avec une profondeur et une intensité remarquables. Marino Neri nous offre un récit poignant, où les tensions cachées et les émotions refoulées se dévoilent progressivement. Cette œuvre est un véritable tour de force narratif et visuel, recommandée aux amateurs de drames psychologiques qui cherchent une lecture engageante et réfléchie.
Vous l’aurez peut-être remarqué, mais Disney semble réellement déterminé à revisiter ses classiques animés en versions live-action. Depuis le succès d’Alice au pays des merveilles qui a atteint le milliard de dollars en 2010, nous avons eu droit à de nouvelles interprétations de ses célèbres histoires, allant du magnifique Cendrillon de Kenneth Branagh au charmant, bien que peu mémorable, Aladdin, ainsi qu’à l’étrange expérience tout en images de synthèse du Roi Lion.
La plupart de ces adaptations ont connu un énorme succès au box-office, mais elles ont également divisé les fans et les critiques, apportant rarement des éléments nouveaux au-delà de leur aspect visuel différent. Cependant, avec l’attachement persistant de Disney à cette idée, il était inévitable qu’un remake en live-action de La Petite Sirène, le succès de 1989 souvent considéré comme le début de la deuxième période de renaissance de Disney, voie le jour.
L’original est profondément chéri par de nombreux fans de Disney, que ce soit pour ses personnages imaginatifs, ses chansons inoubliables écrites par Alan Menken et son regretté partenaire Howard Ashman. Alors que le remake en live-action était attendu, il suscite également des appréhensions de la part des fans qui tiennent tant à l’original. Sous la direction de Rob Marshall et avec la participation de Lin-Manuel Miranda aux côtés de Menken pour mettre à jour les chansons originales et écrire de nouvelles compositions, cette version de La Petite Sirène peine une fois de plus à justifier son existence au-delà d’être un succès inévitable pour le studio, malgré quelques éléments charmants qu’elle renferme.
Dès les premiers instants où de puissantes vagues déferlantes apparaissent, on ressent l’ambition de Marshall de donner à cette aventure une dimension épique, soutenue par son utilisation de la caméra aérienne pour rencontrer le prince Eric et son équipage lors de leur voyage en mer. Cependant, cette sensation s’estompe rapidement une fois que nous pénétrons dans les profondeurs de l’océan, un monde qui avait été si magnifiquement créé en animation 2D.
Là où l’animation avait su capturer la beauté et l’émerveillement de la mer, la version live-action peine à reproduire cette magie. Les décors sous-marins, bien qu’impressionnants visuellement, manquent de l’âme et de la vivacité qui les caractérisaient autrefois. Les vastes étendues océaniques sont réduites à des environnements numériques qui, malgré leur réalisme, ne parviennent pas à évoquer la même poésie que l’animation originale.
Cependant, il y a des éléments qui méritent d’être salués, notamment les performances des acteurs. Halle Bailey incarne Ariel avec grâce et charme, tandis que Melissa McCarthy apporte une touche d’humour et de malice à son rôle d’Ursula. Javier Bardem campe un roi Triton imposant et Jonah Hauer-King apporte une certaine sensibilité au personnage du prince Eric.
Malheureusement, malgré les efforts louables de l’équipe créative, cette version live-action de La Petite Sirène peine à capturer l’essence et la magie de l’original. On ne peut s’empêcher de ressentir un léger sentiment de déception face à cette adaptation qui, bien qu’esthétiquement plaisante, ne parvient pas à se démarquer de manière significative.
Cependant, Marshall éprouve des difficultés à donner vie au monde sous-marin d’Ariel et Triton, principalement animé en CGI. Les acteurs semblent souvent évoluer sur un plateau sonore, et bien que cela fonctionne pour des moments musicaux plus intimes, tels que Part of Your World (où Bailey démontre sa gamme vocale époustouflante), cela ne convient pas aux séquences dynamiques comme Under the Sea. Cette scène en particulier est décevante et dénuée de vie, encombrée de créatures en CGI qui vont du coloré au réaliste, mais qui distraient par leurs conceptions. Trop d’éléments sont jetés à l’écran, empêchant ainsi cette séquence de devenir une pièce maîtresse agréable de chant et de danse. Et, de manière inexcusable, aucune basse ne joue de la basse, et aucune carpe ne joue de la harpe.
Le film atteint son meilleur niveau une fois sorti de l’eau, lorsque nous suivons Ariel dans sa quête pour établir une relation avec Eric sans utiliser sa voix. Il est rafraîchissant de se retrouver sur une véritable île, avec de réels décors et deux acteurs qui ont une chimie douce et naturelle. Hauer-King est bien plus à l’aise dans le rôle d’Eric lorsqu’il est aux côtés de Bailey, ce qui contribue à faire fonctionner leur relation centrale. Bailey elle-même est le véritable joyau du film : non seulement elle possède une voix extraordinaire, mais elle dégage également un charisme charmant qu’il est impossible de nier.
En ce qui concerne les autres performances, elles sont plutôt mitigées. Melissa McCarthy s’amuse visiblement dans le rôle d’Ursula et parvient à offrir une interprétation décente rappelant celle de Pat Carroll, mais elle est entravée par des choix de maquillage étranges et, une fois de plus, par une utilisation excessive des effets visuels qui dissimulent une grande partie de son visage, surtout dans l’acte final. Bardem ne semble jamais tout à fait à l’aise dans le rôle de Triton, tandis que les performances vocales de Daveed Diggs et Awkwafina en tant que Sébastien et Scuttle sont souvent quelque peu déconcertantes, tout comme certains des ajouts de Lin-Manuel aux chansons (« The Scuttlebutt » est particulièrement grincante).
La Petite Sirène de 2023 est une autre adaptation en live-action qui suscite des réactions mitigées. Les scènes sous-marines ne parviennent jamais vraiment à captiver, avec Marshall luttant pour donner vie à cet environnement. Cependant, au milieu de tout cela, il y a quelques moments charmants qui brillent. Bailey porte le film avec brio et offre une performance qui ne fera que renforcer sa position d’étoile montante à surveiller. De plus, les chansons originales restent aussi accrocheuses que jamais, grâce au talent indéniable de Menken et Ashman à leur apogée.
Malheureusement, bon nombre des ajouts nouveaux tombent à plat, et le film finit par se révéler être un autre projet de remake qui ne parvient pas à améliorer l’original ou à offrir des raisons convaincantes de son existence au-delà de son potentiel de succès financier. On a l’impression d’être confronté à une série apparemment sans fin de remakes qui apportent peu de nouveauté et qui ne parviennent pas à capturer la magie de leurs prédécesseurs.
Cette année, Kaamelott revient sous la forme d’une tournée de ciné-concerts, après avoir connu le succès en tant que série télévisée et film. Alexandre Astier, qui a déjà joué le rôle principal, réalisé et écrit le scénario, est également le compositeur de la partition. Réservez votre place : https://www.kaamelott.com/